Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute (43)
De retour de mission à Bayonne avec Marie-Ange, jembrasse une partie de mon petit monde et surtout Fabienne qui sest fait punir et est placée dans sa niche.
Elle mentraîne dans sa chambre afin de me faire voir les vêtements moins austères que ce quelle mettait en arrivant.
Lorsque je lai fisté elle a hurlé son plaisir, son cri a porté au-delà de la chambre.
Alors que nous sommes toujours soudées, la porte souvre, Christian entre.
Il voit la situation dans laquelle est sa femme.
Ho, ma chérie, tu te laisses fister.
Dans mes rêves érotiques les plus fous, la nuit, alors que tu acceptais à peine de changer de position, je tai enfilé ma main dans le vagin des dizaines de fois.
Hélas, à chaque fois, un bruit ou un mouvement me réveillait et jétais tout penaud avec ma trique et personne pour me satisfaire.
Ma chérie, vous êtes bandantes toutes les deux. Tu aimes.
Oh ! oui, vivement que tu me le fasssseee.
Son plaisir sest rallumé lorsque jai commencé à enlever ma main.
Oui, jai entendu le bruit de succion quand mon poignet est sorti.
Enduit de cyprine, je prends la main de Christian qui cest approcher pour voir de plus près. Il tombe à genoux près de moi.
Je rassemble ses doigts et commence à les introduire.
Si tu me mets la main maintenant, jai peur quelle ne reste béante.
Comment mon esclave se rebife, mon esclave refuse son envie à son homme, tu as de la chance que la terrasse soit loin, tu irais dans ta niche ?
Ce soir quand tous nos amis seront réunis, je te punirais et Christine maidera.
Oui, Christian, je taiderai.
Maintenant, continues, elle a compris que tu es son maître et quelle doit tobéir.
Il entre ses cinq doigts et arrive au poignet, donne-t-il un coup violent ou la chatte a-t-elle retrouvé son élasticité, tout cède, il est au fond.
Au lieu douvrir sa main, il serre les doigts pour former un poing.
Il le tourne à toute vitesse au fond du vagin de la belle qui hurle son plaisir.
Je vais à la salle deau et lui apporte un linge mouillé que je place sur son front.
Christian frustré depuis si longtemps des refus de celle quil aime, semble vouloir garder la place chèrement acquise.
Christian sort doucement, je crois quelle a sa dose pour le moment, la journée est loin dêtre finie.
Il retire doucement sa main et prend sa femme dans ses bras. Il la berce, elle dort.
Je les quitte tout doucement sans faire de bruit.
Je monte à létage supérieur pour voir Madeleine et Sindy.
Elle est allongée sur son lit et est en train de lire.
Sindy est dans mon petit lit et dors, elle aussi.
Je mallonge à côté de mon amie et à loreille, je discute avec elle.
Je regarde ce quelle lie.
« Le Grand Meaulnes » roman d'Alain Fournier.
Tu aimes.
Cest ardu à lire, dans ma famille lorsque jétais jeune comme tu le sais, il métait impossible de me cultiver.
Depuis que je suis avec vous chez Virginie, en nettoyant la bibliothèque, jai pris lun de ces livres en main.
Jai eu un frisson dans le dos avec le contact de mes doigts sur la couverture en cuir.
Je lai ouvert et jai commencé à lire mes premiers mots depuis que, jai quitté lécole.
Je me suis assis dans le fauteuil près de moi. Lettre qui forme des mots et qui finissent en phrases défilait dans ma tête.
Le temps a tourné sans que je men aperçoive. Jétais fasciné par les personnages, je devenais lhéroïne de lhistoire.
Lorsque les derniers mots ont été lus par mes yeux, lheure était avancée. Vous alliez rentrer et rien nétait prêt.
Jai tout de même réussi à rattr mon retard.
Depuis au pavillon, jai continué à dévorer la bibliothèque.
Je lie une heure le matin, une heure après manger et le soir dans mon lit hormis les jours ou vous mentraînez dans vos rondes amoureuses. Pour les vacances, vous avez demandé à limiter les bagages.
Jai perdu léquilibre et je me suis appuyée sur la porte de larmoire qui sest ouverte.
Sur létagère des livres.
Jen ai pris un et je suis en train de le lire, ça me passionne.
Cest bien, continue à tinstruire.
Ces livres sont ceux que jamenai pendant les vacances et que mes parents mimposaient de lire sur la terrasse à lombre des arbres au plus fort de la chaleur.
Sert toi et si tu ne trouves rien à ton goût, va au centre culturel, la bibliothèque est bien fournie. Je te payerai la cotisation et la location.
Jai regardé, je pense que jai ce quil faut jusqu'à la fin du mois.
Je peux te poser une question.
Peux-tu me dire la vérité sur ce que serais parti faire Virginie, Anne et Aline ?
Ça recommence, jessaye de biaiser, cest loupé, il va valoir que jen dise plus.
Escorte, soirée, déplacement, contrat, tous y passent.
Merci, jai parlé avec les petites et même si elles ont été discrètes, jai bien compris que vous rencontrez des personnes jusquau rapport sexuel.
Ma chérie, jespère, moi aussi si cest possible dentrer dans votre organisation.
Mais jai une phobie de lavion, je resterais sur le plancher des vaches.
Jaimerais navoir à aller que dans la région parisienne et ainsi me consti un pécule pour macheter une librairie dans le Marais.
Je vais voir avec Virginie ce que lon peut faire mon cur.
Je descends, personnes dans les chambres, Personnes au rez-de-chaussée ni sur la terrasse.
La porte vers la plage est ouverte. Japproche, la mer est à marée basse, elle arrive juste au pied des marches, permettant de rejoindre facilement la plage les pieds presque au sec.
Mes amis sont en train de monter un filet de volley quils ont dû trouver dans le garage sur le sable mouillé.
Jai passé des heures à jouer avec mes quelques copains et mon père à ce jeu.
Je récupère mon slip de bain et seins nus, je descends les rejoindre.
La partie va commencer.
Dun côté Alain, Virginie, Chantal et Christian de lautre Adrien, Marie-Ange, Fabienne et moi.
Nous nous dépensons autant que lon peut.
Au bout dun certain temps, je remarque que notre terrain est très entouré, surtout par des hommes.
Cinq femmes, les seins à lair, qui courent, qui sautent, qui ont les seins qui tressautent.
Nous sommes lattraction de la plage.
Je vois à un moment une femme courroucée venir chercher son mari.
Elle remonte la plage en le tirant par la main.
Fabienne arrive à me glisser entre deux ballons.
Encore une mal-baisée.
Près de nous Madeleine et Sindy sont là.
La petite a fini sa sieste.
Nous arrêtons de jouer et filons nous plonger dans leau accueillante.
Madeleine vient faire patauger la petite, je la rejoins.
Je la remplace le temps quelle profite de leau.
Les trois hommes chahutent avec elle, jaime la voir heureuse.
Katia les rejoint. Comme tous les soirs elle récupère la petite jusqu'à demain.
Le matériel rangé, je profite dêtre seule avec Alain sil peut avec ses copains me fabriquer un objet qui peut nous être très utiles.
Il sen occupe.
Avant de manger, ils tendent des fils en hauteur et accrochent des lampions quils ont trouvés dans le garage.
Bonne initiative car cela donne un air de fête à notre terrasse.
Après avoir pris ma douche, je descends préparer le repas froid que Madeleine a acheté ce matin.
Alain et Adrien démarrent la sono quils ont installée pour que nos soirées soient plus joyeuses.
Simple musique de fond à cette heure.
Repas froid prévu ce soir.
Fabienne est là qui attend que nous lenvoyions dans sa niche suite à sa punition daprès repas.
Christian est en osmose avec moi, car nous lui donnons limpression davoir oublié.
Le petit rosé bien frais permet une atmosphère guillerette parmi les convives.
Un slow langoureux est diffusé, les couples se forment, femmes entre elles, Hommes et femmes.
Pour les hommes, le frottement direct de leur sexe et le ventre de la partenaire semblent échauffer les corps.
Pour les femmes, cette excitation est tout intérieure, mais les frottements de chatte à chatte, se remarque au niveau de leurs regards qui se voilent très vite.
Cest dans cette atmosphère que nous intervenons Christian et moi.
Il savance vers sa femme qui roucoule avec Véronique.
Il avance la laisse vers lanneau et la fixe.
Doucement il lamène au centre de la terrasse. Tous se mettent en rond autour de nous.
Fabienne quest-ce que nous tavons promise ?
De me punir car jai hésité à recevoir lintégralité de ta main dans ma chatoune.
Depuis as-tu été puni ?
Non.
Veux-tu être puni ?
Oui, cest normal.
Voici ce que nous avons décidé pour toi Christine et moi.
Prends limperméable que tes amies tont acheté hier et tes hauts talons.
Sans attendre elle part dans sa nudité vers lentrée ou limper est rangé, elle revient rapidement montrant que la punition lui fait plaisir.
Deviendrait-elle un peu maso, si cela reste dans les bonnes manières pourquoi pas.
Mets-le ?
Elle sexécute.
Mets tes hauts talons.
Elle ferme son imper et serre la ceinture de façon à bien cacher sa nudité et surtout la laisse que Christian lui a laissée.
Insatisfait, ensemble nous lajustons pour que ses seins soient plus visibles et que lon voit ce qui pend de lanneau.
Maintenant voici ta punition. Tu as une heure après avoir passé le portail de la villa pour revenir avec un homme que tu auras allumé en ville et qui acceptera de venir te baiser ici.
En cas déchec, tu retourneras dans ta niche jour et nuits avec le seul droit daller aux toilettes.
Tu auras interdiction de te faire du bien et de faire du bien à quiconque.
Vous êtes tous daccord.
Fabienne nous regarde avec des yeux apeurés.
Du fond de sa gorge, jai du mal à entendre.
Oui.
Sans conviction.
Alain et Adrien se sont éclipsés à ma demande et sont allés shabiller.
Il nest pas question pour nous de faire prendre le moindre risque à notre amie, et les deux hommes sont chargés de la suivre afin dintervenir rapidement si quelque chose clochait.
Christian embrasse sa femme.
Soit à la hauteur afin que je sois fière de toi, tu as lhonneur de la famille entre tes mains.
Elle part, il démarre le chrono.
Nous la voyons passée sur la promenade, longée le Naisicana et se diriger vers la ville.
Quelques secondes et Alain et Adrien passent.
Il nous faut attendre.
Alain nous envoie son premier coup de phone.
Je suis en liaison avec lui.
Tout va bien, elle vient de passer devant la poste et remonte vers le boulevard.
À tous de suite.
Les moments où nous ne voyons rien et les coups de phone sont anxiogènes pour tous.
Elle a traversé, elles passent sous les arcades. Des sexes mâles commencent à la suivre, nous resserrons la distance.
Encore de lattente.
Elle arrive vers le salon de thé. Elle sassoit face à un homme assis à la table en face de la sienne.
Nos nerfs vont lâcher.
Tout va bien, jai limpression quelle écarte ses cuisses.
Je craque, jai envie de mhabiller pour les rejoindre.
Lhomme se lève et vient à sa table.
Elle a bien choisi, un mètre quatre-vingts au minimum.
Jeans élégants, belle chemise, chaussures à litalienne.
Très bronzé.
Elle lui parle. Nous sommes à dix mètres dans son dos.
Le serveur vient prendre leur commande.
Une grande attente.
Elle met ses mains en avant vers lui, doigts allongés.
Marie-Ange, elle doit lui faire voir ses doigts où tu as peint « J E B A I S E ».
Il éclate de rire et fait oui de la tête.
Le serveur leur apporte les consommations. Il paye tout de suite.
Il lui parle, il savance vers elle, comme sil voulait lui dire quelque chose à loreille.
Il lui pose la main sur la cuisse tout en lui parlant.
Il doit lui toucher la chatte, elle se raidit.
Allez plus vite, je bous.
Ils ont lair pressé, sans rien avalé, ils se lèvent.
Ils partent vers la place du marché, nous les suivons
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